L’Association Atelier Jeudi Soir, basée à Port-au-Prince, annoncent la parution sous le label des Éditions Atelier Jeudi Soir, du roman de Lyonel Trouillot, La belle amour humaine, finaliste du prestigieux prix Goncourt en 2011.
« …un roman habité par de magnifiques personnages, écrit dans une langue lyrique et sensuelle qui exalte l’émerveillement, les rêves, l’amour et la bonté, et invite chacun à faire un bel usage de sa présence au monde. »
Corrine Renou-Mativel, la croix
La belle amour humaine est publié avec l’aimable autorisation des éditions Actes-Sud et le renoncement de Lyonel Trouillot à ses droits d’auteur sur l’édition haïtienne.
Les Editions Atelier Jeudi Soir négocient avec des écrivains majeurs de la littérature haïtienne en vue de pouvoir rééditer leurs ouvrages publiés à l’étranger à des prix abordables pour le lecteur haïtien. C’est dans cet ordre d’idées qu’elles ont fait paraitre en juin 2011 l’édition haïtienne du roman de Évelyne Trouillot, La mémoire aux abois, gagnant du prix Carbet de la Caraïbe et du Tout-Monde en novembre 2010.
« Avec ce roman, Evelyne Trouillot nous montre l’importance de la mémoire qui permet autant de déconstruire un passé peu reluisant pour une reconstruction de l’être d’aujourd’hui. C’est assurément une belle fleur littéraire que nous offre Evelyne Trouillot qu’elle extrait de ce terreau de terreur que fut la période Duvaliériste... »
Jude Duranty, Potomitan
L’Association Atelier Jeudi Soir a également le plaisir d’annoncer la réédition tant attendue aux Éditions Atelier Jeudi Soir du premier roman de Henry Kénol, Le Désespoir des Anges.
« Quand on a eu la chance d’avoir le livre d’Henry Kénol entre les mains, on n’a qu’une seule envie : le faire connaître. Le désespoir des anges est un roman grand public qu’une fois ouvert, on ne lâche pas. »
Valérie Marin La Meslée
Est également disponible aux Éditions Atelier Jeudi Soir, le premier recueil de poèmes de Mark-Endy Simon, sorti en juin 2011 et préfacé par Lyonel Trouillot, Je ne pardonne pas au malheur. Dans ce recueil qui offre à lire trente-quatre textes, l’auteur rend hommage à son fils, Loubendy Marc Simon, décédé lors du séisme du 12 janvier 2010.
Les Éditions Atelier Jeudi Soir et les écrivains Lyonel Trouillot, Évelyne Trouillot, Henry Kénol et Mark-Endy Simon ont le plaisir de vous inviter à la vente signature collective de La belle amour humaine, La mémoire aux abois, Le désespoir des anges et Je ne pardonne pas au malheur à la librairie la Pléiade (Complexe Promenade) le samedi 26 Novembre 2011 de 10:00 à 4:00.
_________________________________________________________________________________________
La belle amour humaine de Lyonel Trouillot
Dans un petit village côtier d'une île des Caraïbes, une jeune Occidentale est venue, sur les traces de son père, éclaircir l'énigme aux allures de règlement de comptes qui fonde son roman familial. Au fil de récits qu'elle recueille et qui, chacun à leur manière, posent une question essentielle – "Quel usage faut-il faire de sa présence au monde ?" –, se déploie, de la confrontation au partage, une cartographie de la fraternité nécessaire des vivants face aux appétits féroces de ceux qui tiennent pour acquis que le monde leur appartient.
« Voici un grand livre. Ne passez donc pas à côté de La belle amour humaine… »
Femme actuelle
« C’est diablement et divinement bien écrit. »
Am
« Avec des mots qui brûlent, un écrivain au sommet de son art. »
Edmonde Charles-Roux (de l’académie Goncourt), La Provence
« Il y a du Giono –deuxième manière – dans ce Trouillot-là. »
Grégoire Leménager, Le nouvel observateur
« La belle amour humaine est un conte à la langue soyeuse, dont les questionnements sont abyssaux. »
Christophe Kantcheff, Politis
« Trouillot signe là, et sans contes, son meilleur livre. »
Thierry Clermont, le figaro littéraire
« Styliste admirable, poète et conteur inspiré, Lyonel Trouillot donne ici… un roman de sagesse, envoûtant, gouteux et drôle, cinglant et doux à la fois. Pas loin du bonheur. »
Michel Genson, le républicain lorrain
« …Une langue magnifique que l’on se plaira à partager avec ses proches. »
Psychologies
« …un roman habité par de magnifiques personnages, écrit dans une langue lyrique et sensuelle qui exalte l’émerveillement, les rêves, l’amour et la bonté, et invite chacun à faire un bel usage de sa présence au monde. »
Corrine Renou-Mativel, la croix
__________________________________
La mémoire aux abois de Évelyne Trouillot
Plus que de dialogues, il s’agit de deux monologues, deux paroles qui se croisent autour d’une même histoire, autour de souvenirs forts liés à Quisquéya. Deux polices de caractère qui caractérisent les deux personnages et fixent la frontière entre deux univers que tout oppose : celui d’une veuve de dictateur qui se meurt, exposée aux regards, tout en étant cachée par la direction de l’hospice qui l’abrite. ... L’autre monde est celui d’une jeune quisquéyenne qui ne cesse de raviver des faits douloureux et tragiques que lui a relatés Marie-Carmelle, sa mère. Evénements qui l’ont pétrie, qui continuent à la façonner voire à déterminer son être. Aide-soignante, elle a pour patiente la « gardienne de la révolution » dont le mari despote a décimé sa famille. ...
La mémoire aux abois déroule les deux histoires dans un jeu duel signalé par les titres des quatre chapitres. Au fur et à mesure, le roman installe une tension dramatique, une puissance qui rappelle la phrase célèbre de Delgrès : « La résistance à l’oppression est un droit naturel. » Ainsi, quelque soit la férocité d’un régime, des hommes épris de liberté et de justice se lèveront, se dresseront pour que triomphent leurs idées. Evelyne Trouillot nous invite à lire l’histoire de Quisquéya (Haïti) à la fois de façon claire et dans les interstices et les blancs du texte. Un roman bouleversant dont on ne sort pas indemne.
Nicole Brissac
« Avec ce roman, Evelyne Trouillot nous montre l’importance de la mémoire qui permet autant de déconstruire un passé peu reluisant pour une reconstruction de l’être d’aujourd’hui. C’est assurément une belle fleur littéraire que nous offre Evelyne Trouillot qu’elle extrait de ce terreau de terreur que fut la période Duvaliériste, que dis-je Dorévaliste. Enfin, lecteur plongez-y allègrement dans cette mémoire pour mieux comprendre la Quisquéya, ou l’Haïti d’aujourd’hui. »
Jude Duranty (Potomitan)
__________________________________
Le désespoir des anges de Henry Kénol
Le début des années 2000. Les gangs s’installent dans les cités. Réalité à laquelle la littérature haïtienne s’est jusqu’ici très peu intéressée. Une jeune femme en révolte après avoir été la victime d’une famille de riches devient la concubine d’un chef de gang. Mais le règne de son homme est de courte durée. De souveraine, elle devient fugitive, poursuivie par le nouveau chef. Elle ne sortira de la cité que pour travailler dans un bordel. De violence en violence, de souffrance en souffrance, elle conserve malgré tout une grande force intérieur et confiance en l’avenir. Dans ce récit à la première personne, le déclic est provoqué par une simple convocation. Travaillant dans un hôtel, essayant de refaire sa vie et d’oublier, la jeune femme a cassé des verres et se retrouve devant la patronne. Elle s’attend à être renvoyée, mais elle voit devant elle une femme d’une autre condition qui souffre et ne sait pas comment faire face à ses problèmes. Et tandis que la patronne lui fait des remontrances sous lesquels elle perçoit un appel à l’aide et à dialogue, ses souvenirs à elle s’imposent. C’est à une conversation muette entre la fille de la cité et « la patronne » que ce récit à la première personne nous invite. La violence des cités, d’un côté, et, de l’autre côté une complicité improbable mais possible entre deux femmes que tout sépare.
« Quand on a eu la chance d’avoir le livre d’Henry Kénol entre les mains, on n’a qu’une seule envie : le faire connaître. Le désespoir des anges est un roman grand public qu’une fois ouvert, on ne lâche pas. »
Valérie Marin La Meslée
« Il y a du sang. Du sexe. Des sentiments forts. Une fin inattendue. Le livre étonne. »
Frantz Duval, Le Nouvelliste
« Ce récit reformule la conception de tous les jeunes Haïtiens qui vont le lire… »
Antoine Jeudy, Le Nouvelliste
__________________________________
Je ne pardonne pas au malheur de Mark-Endy Simon
Dans ce recueil qui offre à lire trente-quatre textes, l’auteur rend hommage à son fils, Loubendy Marc Simon, décédé lors du séisme du 12 janvier 2010.
Le jeune poète a puisé dans ses souvenirs de ce jour lugubre, l’énergie nécessaire pour relancer sa vie personnelle ainsi que sa relation familiale. « Ce fut le moment le plus triste de ma vie ; cependant, je suis parvenu à tenir bon », a raconté le poète qui dit vouloir bien faire. « J’ai voulu proposer une nouvelle façon d’écrire. Il faudra rompre avec cette mauvaise habitude d’écrire n’importe quoi frisant la médiocrité. »
J’estime que c’est un travail qui peut enrichir la production littéraire en Haïti.
Hudler Joseph, Le Matin
« Mark-Endy Simon livre dans « Je ne pardonne pas au malheur », son premier recueil de poèmes, une œuvre de qualité, porteuse de promesses. Ce recueil est une écriture poétique dont les images ne se cherchent pas. Elles coulent doucement, jaillissent pour laisser contempler ses feux de beautés. »
Chenald Augustin , Le Nouvelliste
« …un roman habité par de magnifiques personnages, écrit dans une langue lyrique et sensuelle qui exalte l’émerveillement, les rêves, l’amour et la bonté, et invite chacun à faire un bel usage de sa présence au monde. »
Corrine Renou-Mativel, la croix
La belle amour humaine est publié avec l’aimable autorisation des éditions Actes-Sud et le renoncement de Lyonel Trouillot à ses droits d’auteur sur l’édition haïtienne.
Les Editions Atelier Jeudi Soir négocient avec des écrivains majeurs de la littérature haïtienne en vue de pouvoir rééditer leurs ouvrages publiés à l’étranger à des prix abordables pour le lecteur haïtien. C’est dans cet ordre d’idées qu’elles ont fait paraitre en juin 2011 l’édition haïtienne du roman de Évelyne Trouillot, La mémoire aux abois, gagnant du prix Carbet de la Caraïbe et du Tout-Monde en novembre 2010.
« Avec ce roman, Evelyne Trouillot nous montre l’importance de la mémoire qui permet autant de déconstruire un passé peu reluisant pour une reconstruction de l’être d’aujourd’hui. C’est assurément une belle fleur littéraire que nous offre Evelyne Trouillot qu’elle extrait de ce terreau de terreur que fut la période Duvaliériste... »
Jude Duranty, Potomitan
L’Association Atelier Jeudi Soir a également le plaisir d’annoncer la réédition tant attendue aux Éditions Atelier Jeudi Soir du premier roman de Henry Kénol, Le Désespoir des Anges.
« Quand on a eu la chance d’avoir le livre d’Henry Kénol entre les mains, on n’a qu’une seule envie : le faire connaître. Le désespoir des anges est un roman grand public qu’une fois ouvert, on ne lâche pas. »
Valérie Marin La Meslée
Est également disponible aux Éditions Atelier Jeudi Soir, le premier recueil de poèmes de Mark-Endy Simon, sorti en juin 2011 et préfacé par Lyonel Trouillot, Je ne pardonne pas au malheur. Dans ce recueil qui offre à lire trente-quatre textes, l’auteur rend hommage à son fils, Loubendy Marc Simon, décédé lors du séisme du 12 janvier 2010.
Les Éditions Atelier Jeudi Soir et les écrivains Lyonel Trouillot, Évelyne Trouillot, Henry Kénol et Mark-Endy Simon ont le plaisir de vous inviter à la vente signature collective de La belle amour humaine, La mémoire aux abois, Le désespoir des anges et Je ne pardonne pas au malheur à la librairie la Pléiade (Complexe Promenade) le samedi 26 Novembre 2011 de 10:00 à 4:00.
_________________________________________________________________________________________
La belle amour humaine de Lyonel Trouillot
Dans un petit village côtier d'une île des Caraïbes, une jeune Occidentale est venue, sur les traces de son père, éclaircir l'énigme aux allures de règlement de comptes qui fonde son roman familial. Au fil de récits qu'elle recueille et qui, chacun à leur manière, posent une question essentielle – "Quel usage faut-il faire de sa présence au monde ?" –, se déploie, de la confrontation au partage, une cartographie de la fraternité nécessaire des vivants face aux appétits féroces de ceux qui tiennent pour acquis que le monde leur appartient.
« Voici un grand livre. Ne passez donc pas à côté de La belle amour humaine… »
Femme actuelle
« C’est diablement et divinement bien écrit. »
Am
« Avec des mots qui brûlent, un écrivain au sommet de son art. »
Edmonde Charles-Roux (de l’académie Goncourt), La Provence
« Il y a du Giono –deuxième manière – dans ce Trouillot-là. »
Grégoire Leménager, Le nouvel observateur
« La belle amour humaine est un conte à la langue soyeuse, dont les questionnements sont abyssaux. »
Christophe Kantcheff, Politis
« Trouillot signe là, et sans contes, son meilleur livre. »
Thierry Clermont, le figaro littéraire
« Styliste admirable, poète et conteur inspiré, Lyonel Trouillot donne ici… un roman de sagesse, envoûtant, gouteux et drôle, cinglant et doux à la fois. Pas loin du bonheur. »
Michel Genson, le républicain lorrain
« …Une langue magnifique que l’on se plaira à partager avec ses proches. »
Psychologies
« …un roman habité par de magnifiques personnages, écrit dans une langue lyrique et sensuelle qui exalte l’émerveillement, les rêves, l’amour et la bonté, et invite chacun à faire un bel usage de sa présence au monde. »
Corrine Renou-Mativel, la croix
__________________________________
La mémoire aux abois de Évelyne Trouillot
Plus que de dialogues, il s’agit de deux monologues, deux paroles qui se croisent autour d’une même histoire, autour de souvenirs forts liés à Quisquéya. Deux polices de caractère qui caractérisent les deux personnages et fixent la frontière entre deux univers que tout oppose : celui d’une veuve de dictateur qui se meurt, exposée aux regards, tout en étant cachée par la direction de l’hospice qui l’abrite. ... L’autre monde est celui d’une jeune quisquéyenne qui ne cesse de raviver des faits douloureux et tragiques que lui a relatés Marie-Carmelle, sa mère. Evénements qui l’ont pétrie, qui continuent à la façonner voire à déterminer son être. Aide-soignante, elle a pour patiente la « gardienne de la révolution » dont le mari despote a décimé sa famille. ...
La mémoire aux abois déroule les deux histoires dans un jeu duel signalé par les titres des quatre chapitres. Au fur et à mesure, le roman installe une tension dramatique, une puissance qui rappelle la phrase célèbre de Delgrès : « La résistance à l’oppression est un droit naturel. » Ainsi, quelque soit la férocité d’un régime, des hommes épris de liberté et de justice se lèveront, se dresseront pour que triomphent leurs idées. Evelyne Trouillot nous invite à lire l’histoire de Quisquéya (Haïti) à la fois de façon claire et dans les interstices et les blancs du texte. Un roman bouleversant dont on ne sort pas indemne.
Nicole Brissac
« Avec ce roman, Evelyne Trouillot nous montre l’importance de la mémoire qui permet autant de déconstruire un passé peu reluisant pour une reconstruction de l’être d’aujourd’hui. C’est assurément une belle fleur littéraire que nous offre Evelyne Trouillot qu’elle extrait de ce terreau de terreur que fut la période Duvaliériste, que dis-je Dorévaliste. Enfin, lecteur plongez-y allègrement dans cette mémoire pour mieux comprendre la Quisquéya, ou l’Haïti d’aujourd’hui. »
Jude Duranty (Potomitan)
- Pour : l’originalité avec laquelle sont convoqués les tremblements de l’Histoire et des histoires dont les soubresauts n’ont pas fini se secouer nos imaginaires caribéens ;
- Pour : la retenue, la tendresse, les silences, les souffles, qui sont dévoilés tout en intérieur et qui révèlent les énigmes des destins ;
- …
- Pour : un roman vivant qui libère une esthétique fragmentée et indirecte, à la limite de l’Inextricable.
__________________________________
Le désespoir des anges de Henry Kénol
Le début des années 2000. Les gangs s’installent dans les cités. Réalité à laquelle la littérature haïtienne s’est jusqu’ici très peu intéressée. Une jeune femme en révolte après avoir été la victime d’une famille de riches devient la concubine d’un chef de gang. Mais le règne de son homme est de courte durée. De souveraine, elle devient fugitive, poursuivie par le nouveau chef. Elle ne sortira de la cité que pour travailler dans un bordel. De violence en violence, de souffrance en souffrance, elle conserve malgré tout une grande force intérieur et confiance en l’avenir. Dans ce récit à la première personne, le déclic est provoqué par une simple convocation. Travaillant dans un hôtel, essayant de refaire sa vie et d’oublier, la jeune femme a cassé des verres et se retrouve devant la patronne. Elle s’attend à être renvoyée, mais elle voit devant elle une femme d’une autre condition qui souffre et ne sait pas comment faire face à ses problèmes. Et tandis que la patronne lui fait des remontrances sous lesquels elle perçoit un appel à l’aide et à dialogue, ses souvenirs à elle s’imposent. C’est à une conversation muette entre la fille de la cité et « la patronne » que ce récit à la première personne nous invite. La violence des cités, d’un côté, et, de l’autre côté une complicité improbable mais possible entre deux femmes que tout sépare.
« Quand on a eu la chance d’avoir le livre d’Henry Kénol entre les mains, on n’a qu’une seule envie : le faire connaître. Le désespoir des anges est un roman grand public qu’une fois ouvert, on ne lâche pas. »
Valérie Marin La Meslée
« Il y a du sang. Du sexe. Des sentiments forts. Une fin inattendue. Le livre étonne. »
Frantz Duval, Le Nouvelliste
« Ce récit reformule la conception de tous les jeunes Haïtiens qui vont le lire… »
Antoine Jeudy, Le Nouvelliste
__________________________________
Je ne pardonne pas au malheur de Mark-Endy Simon
Dans ce recueil qui offre à lire trente-quatre textes, l’auteur rend hommage à son fils, Loubendy Marc Simon, décédé lors du séisme du 12 janvier 2010.
Le jeune poète a puisé dans ses souvenirs de ce jour lugubre, l’énergie nécessaire pour relancer sa vie personnelle ainsi que sa relation familiale. « Ce fut le moment le plus triste de ma vie ; cependant, je suis parvenu à tenir bon », a raconté le poète qui dit vouloir bien faire. « J’ai voulu proposer une nouvelle façon d’écrire. Il faudra rompre avec cette mauvaise habitude d’écrire n’importe quoi frisant la médiocrité. »
J’estime que c’est un travail qui peut enrichir la production littéraire en Haïti.
Hudler Joseph, Le Matin
« Mark-Endy Simon livre dans « Je ne pardonne pas au malheur », son premier recueil de poèmes, une œuvre de qualité, porteuse de promesses. Ce recueil est une écriture poétique dont les images ne se cherchent pas. Elles coulent doucement, jaillissent pour laisser contempler ses feux de beautés. »
Chenald Augustin , Le Nouvelliste